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le site de l'association des amis du jardin botanique de Strasbourg - Photos
 
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Photos

 Jardins

                      Un jardin patrimonial d'exception

                   Le jardin monastique rassemble, dans la plus pure tradition médiévale, des plantes médicinales aux vertus réelles ou mythiques.                                                                                 
Pendant sept siècles et demi mes moniales bénédictines ont occupé ces lieux, cultivant dans leur jardin situé juste à côté de l'église abbatiale plantes nourricières et médicinales. 
 Elles utilisaient ces dernières pour soigner les malades de l’abbaye et des environs, mais aussi les pèlerins de leur hôpital.
Dans un espace de 10 ares organisé en damiers, le jardin présente près de 400 plantes répertoriées dans le domaine de la pharmacopée, d'origine médiévale ou actuelle.
Le visiteur est ainsi plongé dans le plaisir de la botanique et la connaissance de l'histoire de la pharmacopée, en même temps qu'on l'initie avec passion à la symbolique et même à la mystique du jardinage.
Le site est référencé dans le réseau Jardins d'Alsace et labellisé "Jardin remarquable". Il comblera les botanistes, les historiens et tous les amoureux de la nature.
A visiter au cours des différentes saisons pour découvrir son trésor médicinal et voir s'épanouir ses fleurs.                                       https//www.visitstrasbourg.fr/fiche-sitf2230005677_jardin-monastique-eschau

Une abbaye de Bénédictines (de 770 à 1525)
Sous le règne de Charlemagne, dans les années 770, l’évêque de Strasbourg Remigius fonda l’ABBAYE SAINTE-SOPHIE sur -l’insula Hascgaugia- (l’île-aux-frênes) qui allait devenir Eschau. Ce fut la troisième abbaye de femmes en Alsace, après celles de Hohenbourg (Mont Sainte-Odile) et de Saint-Etienne à Strasbourg, toutes trois fondées par la même famille des Etichonides, ducs d’Alsace.
Un hôpital pour pèlerins (1143)
Pendant sept siècles et demi les moniales bénédictines ont occupé ces lieux. Elles ont donc cultivé dans leur jardin des plantes pour s’en nourrir et des herbes médicinales, dites simples ou herbes à guérir. Elles utilisaient ces dernières non seulement pour soigner les malades de l’abbaye et des environs, mais aussi les pèlerins de leur hôpital. En effet, l’abbesse Chunegundis avait fondé en 1143 à l’entrée d’Eschau sur la -voie romaine- encore existante un -hôpital pour pèlerins de toutes parts venant.
S’arrêtaient dans cet hôpital les pèlerins de passage, mais aussi ceux qui étaient venus pour vénérer à l’église abbatiale, dédiée à saint Trophime, les reliques de sainte Sophie et de ses trois filles Foi, Espérance et Charité, rapportées de Rome jusqu’ici dès 777 par l’évêque Remigius lui-même. Sainte Sophie était la patronne de l’abbaye, devenue un centre important de pèlerinage.
C’était généralement l’abbesse qui avait la connaissance des plantes et faisait préparer les onguents, baumes, infusions ou décoctions ou prescrivait bains, enveloppements ou plantes en poudre pour soigner les malades et soulager les maux.

Renouer avec l’histoire et la botanique

Planter et rendre accessibles les plantes anciennes que nos moniales ont connues et cultivées, c’est renouer avec l’histoire et restaurer la mémoire, tout en retrouvant la connaissance des plantes et de leurs vertus.
Nous avons puisé à trois sources pour connaître les noms des plantes cultivées ici dès l’époque carolingienne : le capitulaire De villis de Charlemagne (entre 800 et 812), le Plan de l’abbaye de Saint-Gall (vers 820) qui contient l’Herbularius, l’Hortus et le Pomarium, et enfin l’Hortulus de Walahfrid Strabo, abbé de Reichenau (843-849).
Nous nous intéressons tout particulièrement aussi à sainte Hildegarde de Bingen (1098-1179), abbesse bénédictine du Rupertsberg et contemporaine de notre hôpital. Elle avait une connaissance étendue des plantes médicinales et de l’art de les utiliser. Dans son Livre des subtilités des créatures divines (Physique) elle nous a laissé plus de 200 noms de plantes, en indiquant le parti qu’on peut en tirer pour se nourrir ou se soigner.

L’emplacement du Jardin Monastique

Le jardin monastique a été reconstitué sur le terrain jouxtant le presbytère, face à l’abbatiale romane. Ce terrain était encore occupé en 1791 – jusqu’alors propriété du Grand Chapitre de la Cathédrale – par un -jardin potager, des berceaux de vignes et un vivier.
L’espace rectangulaire, idéalement orienté avec exposition au sud, a été mis à notre disposition par Monsieur le Curé qui en a l’usufruit et la Commune qui en est le propriétaire.

Sa mise en oeuvre

Tout a commencé en automne 1987. Après deux années consacrées aux démarches et aux travaux d’infrastructure, les premières plantations connurent leur premier printemps en 1989. La première plante mise en place a été le bouillon blanc ou cierge de Notre Dame !La disposition monastique ancienne des parterres en rectangles ou carrés a été reprise sous ces deux formes et a été en même temps adaptée au but pédagogique poursuivi : chaque carré ne reçoit qu’une seule et même plante afin de faciliter l’observation; les noms des plantes figurent en latin, français, allemand et alsacien; les propriétés des plantes sont mentionnées.
Les damiers et rectangles répartissent l’espace en autant de points forts : plantes -carolingiennes- (Herbularius et Hortus), stomachiques, astringentes, pectorales, tinctoriales, toxiques, jardin bouquetier, arbustes et plantes des sous-bois, roses anciennes et roses trémières…
L’insertion de matériaux anciens (vieilles pierres de taille, bancs en grès, vieilles bornes à inscriptions, vieux pavés, poteaux à joubarbe, etc.), la présence d’un puits authentique, mais surtout la statue de la première abbesse d’Eschau, Adala, et les noms gravés des autres abbesses redonnent à ce lieu quelque chose de sa véritable dimension historique hors du commun.
La statue en grès des Vosges, haute de 2,55m avec son socle, et les dalles gravées des noms des abbesses ont été sculptées par Denis Roth. Elles sont abritées sous un édicule.Le coût de la statue d’Adala a été entièrement couvert par les dons de Mécènes, en grande partie locaux. Le vitrail, reproduisant l’écusson du pavillon du jardin monastique, a été réalisé gratuitement par André Ildiss. Le cadran solaire, conçu en harmonie avec ce lieu, a été calculé par Etienne Kintz et gravé par Denis Roth.

Son rayonnement

Le public ne s’est pas fait attendre. En 1992 le jardin, encore inachevé, entra dans l’histoire régionale: il fut classé -jardin d’Alsace- par les Monuments Historiques de la Préfecture, reçut la visite de la télévision (FR3 Alsace, Rundum), des journalistes (D.N.A.) et de radios locales et fut particulièrement honoré par les -Amis du Vieux Strasbourg-. Depuis 1993 le jardin figure parmi les -jardins médiévaux- et les -jardins des senteurs-. Il est en outre signalé sur les itinéraires de la Route Romane d’Alsace.Sa participation annuelle aux –Journées des Jardins de France– au début de juin lui attire un public nombreux. Les groupes d’adultes, d’écoliers, d’étudiants ou de participants à des rallyes bénéficient de visites guidées en français et en allemand.

La cohésion d’une équipe et le soutien de la Municipalité

Le concours d’un professeur passionné d’histoire et d’archéologie – Joseph Gross – et d’un professeur de sciences naturelles passionnée de botanique – Denise Zachary – a permis la mise en oeuvre de ce vaste projet dès 1987.
Un professeur à la retraite – René Hoffmann – s’est joint à nous pour nous seconder dans les travaux, l’entretien et le fonctionnement. Bien entendu, -l’équipe des 3 profs- reste ouverte à d’autres intéressés…
Le Principal ayant accepté d’engager le collège Sébastien Brant dans cette action, sous la conduite de leur professeur Denise Zachary, des jeunes viennent régulièrement travailler et s’instruire. La municipalité nous a constamment soutenus. Le savoir-faire des employés de la commune, Bernard Keller et Richard Kretz, a largement contribué à mener à bien cette entreprise de longue haleine.

L’aboutissement des travaux

C’est, en effet, après sept ans de persévérance que le jardin a pu être inauguré le 26 mai 1994 et béni par Monseigneur Charles Amarin Brand, archevêque de Strasbourg, en présence de personnalités et d’amis nombreux.

Un jardin du paradis

Se promener paisiblement au milieu de nos simples, de nos amies les plantes, les nommer en plusieurs langues, les contempler, se rappeler leurs propriétés, les respirer, leur parler (!) et aussi les soigner et les désherber (!), c’est vivre un bonheur réel et profond. Une approche de l’idée d’Eden                  https//www.eschau.fr/la-ville
Film et photos de Thierry Roser


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La pépinière Eberst à Baden-Baden
Lors d'une sortie le 23-05-2009, nous avons été reçu à la pépinière par M. Eberts à Baden-Baden pour une visite guidée. Il nous a montré son jardin avec des espèces spectaculaires.
Nous avons quitté ce paradis avec des étoiles pleins les yeux.

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Le Jardin Botanique de Metz
Vincent HORVAT nous offre quelques photos du Jardin Botanique de Metz.
D'autres photos proviennent du site " metz.fr "


Epoques : XVIIIe
Attribuée pendant de nombreuses années au ferronnier Messin Pantz et présentée comme le vestige de l'Exposition universelle qui eut lieu à Metz en 1861, la grande serre du Jardin botanique n'est pas celle que l'on pensait…
Transférée en 1862 à l'extrémité Nord de la promenade du quai St Pierre, la serre de l'exposition universelle disparut dans un incendie en 1875.
Les serres actuelles du jardin botanique ont en fait été construites sous l'annexion, par Wahn, le "Stadtbaurat" ou l'architecte de la ville à cette période. Selon le plan retrouvé datant de janvier 1898, le cartouche indique qu'il s'agit bien de "nouvelles serres" (Neues Gewächshaus).
D'une superficie de 834 m², elles se composent de 6 chapelles proposant des collections tropicales organisées selon divers thématiques : une orangerie, une serre aride, une serre tempérée, une serre dédiée à l'évolution, une autre dédiée aux sous-bois équatoriaux et enfin, une serre actuellement en travaux sur le thème du voyage des plantes.
Epoques : XIXe
Le jardin botanique de Metz est un héritage de l'activité scientifique et naturaliste messine. Fondé en 1802 sur la colline Sainte croix, il a rassemblé au cours des époques, diverses personnalités scientifiques passionnées par la botanique comme Jean-Christophe Couthier, Gabriel Simon, M. Belhomme.
Il est ensuite transféré à Montigny-les-Metz en 1867. Cette année-là, la Ville de Metz achète la propriété Frescatelly, une résidence d'été construite en 1719 et qui dispose d'un parc de 4,4 ha.
L'activité scientifique du jardin botanique connaît ensuite une période d'austérité sous l'occupation allemande (pénurie de chauffage causant de forte pertes dans les collections tropicales) toutefois le Muséum de Paris l'aide à reconstituer certaines collections végétales.
Le parc est aménagé par le paysagiste Antoine Demoget, qui en fait un jardin à l'anglaise aux allées courbes et agrémenté de bassins. Une statue en bronze, réalisée par Christophe Fratin en 1852, est installée à l'entrée du parc. Elle représente un Cerf aux abois.
A partir des années 60, la Ville axe plutôt sa politique des jardins sur les promenades et le fleurissement. Le jardin botanique perd alors à cette époque sa vocation scientifique. Il n'a peut-être pas dit son dernier mot !
La grande serre qu'il abrite reste un témoin du rayonnement messin. Depuis de nombreuses années, il est dit que les serres du jardin botanique sont celles de l’exposition universelle qui eut lieu sur l’Esplanade en 1861, construites à l’époque par le ferronier Pantz. Or, elles ont brulé lors d’un incendie en 1876. Les serres actuelles ont en fait été construites sous l’annexion allemande (1870 – 1919), selon les plans retrouvés, et dessinées par le « Stadtbaurat » Wahn.
Le parc contient plus de cent variétés d'arbres, dont certaines sont rares comme un séquoia géant de 40 mètres et âgé de 140 ans, un muscadier de Californie, un liquidambar (ou copalme quarante écus), un cyprès chauve, un arbre au caramel ou encore des bananiers et des palmiers plantés en pleine terre.
Le jardin dispose également d'une roseraie, au tracé régulier et géométrique, et qui contient 80 variétés de rosiers, des vivaces et des plantes grimpantes comme le jasmin d'hiver ou le kiwi ornemental.
Il est agrandi en 1997 à l'emplacement des anciennes serres de production. Dans ce nouvel espace, on peut notamment admirer un jardin des senteurs, un autre de graminées, une tonnelle de cytises et un plan d'eau agrémenté de nénuphars.
Connu d’abord sous le nom de “Parc Frescatelly”, le Jardin Botanique est un parc de style paysager de 4,4 hectares dont la création date de 1866. Il propose de nombreuses collections végétales originales : l’arboretum avec les ginkgos, les séquoias et le cyprès chauve tous centenaires ; la roseraie, le jardin de senteur, la collection de graminées et les plates-bandes de vivaces.

Le pavillon “Frescatelly” situé au centre du jardin abrite actuellement la direction du Service des Espaces Verts et du Cadre de Vie.

Les serres, d’une superficie de 1 000 m² environ, datent de 1898 et sont l’œuvre de Wahn, architecte de la ville à l’époque. Elles rassemblent des plantes tropicales et exotiques venues de diverses régions du monde aux climats variés : équatorial, méditerranéen, aride et tropical.                                                                                                                               metz.fr

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Le Jardin de la Faïencerie de Sarreguemines
Le Jardin des Faïenciers est une friche industrielle, un jardin, une œuvre d'art, tout cela à la fois. Sur le site du Moulin de la Blies, élu 9ème monument préféré des Français en 2015, le paysagiste Philippe NIEZ s'est lancé un défi: donner une seconde vie au patrimoine industriel des berges de la Blies.
Et le résultat est épatant !
Le jardin des Faïenciers est un lieu de promenade unique en son genre en Lorraine. Ici, d'anciennes meules et cheminées en briques côtoient Lys des Steppes et autres Hortensia fleuris en période estivale. A l'automne, laissez-vous surprendre par les odeurs de pain d'épice des arbres à gâteau. Couleurs, végétaux et autres petites bêtes qui peuplent le jardin varient au gré des saisons et évoquent les sources d'inspiration des faïenciers, décorateurs des siècles passés. Imaginé par Philippe NIEZ, le Jardin des Faïenciers fait le pendant à la partie minérale su site du Moulin de la Blies composé des friches de l'usine de faïence datant du XIXème siècle. Il évoque les sources d'inspirations des artistes décorateurs, l'alchimie des couleurs et la fabrication de la faïence. Ce jardin est à la fois marqué par l'histoire industrielle qu'il met en valeur de façon subtile et par la volonté d'étonner, de créer du dépaysement, notamment grâce à des effets de plantes inattendus. Il se décline en 7 jardins qui ont chacun leur univers propre et qui, tous les ans, seront complétés par une scénographie éphémère. A découvrir notamment: le Labyrinthe des Ruines, le théâtre de verdure, la terrasse de pivoines, le jardin des grands feuillages ou encore la pergola de glycines japonaises... Le Jardin des Faïenciers est membre du réseau Jardins sans Limites qui rassemble près d'une vingtaine de jardins à visiter en Moselle( France), en Sarre(Allemagne) et au Luxembourg.        CPJF







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Le Jardin Botanique de Lyon
Le jardin botanique de Lyon est un musée vivant abritant la diversité végétale de notre planète. Au milieu du Parc de la Tête d'Or, c'est un oasis au cœur de la ville. Ce lieu de découverte, de détente et de convivialité vous propose d'admirer la richesse de ses différentes collections ( carnivores, orchidées, passiflore, etc..) réparties sur 8 hectares dont 6500 m2 de serres. Il abrite environ 16000 espèces.
Il renferme l'une des plus riches collections d'Europe et de ce fait, est très prisé des spécialistes qui viennent du monde entier. Membre du Conservatoire des collections végétales spécialisées certaines de ses collections sont labellisées  "collections nationales" ( araceae, begoniaceae, bromeliaceae, etc..). Il accueille également une bibliothèque, un herbier, une graineterie, un pôle scientifique indispensables pour mener ses activités de recherche et de conservation.
Il s'investie dans l'éducation à l'environnement pour un développement durable.
Retrouvez tout au long de l'année, ses animations pour les scolaires, ses ateliers, ses expositions, ses visites, pour les grands et les petits sur le site internet des activités natures de la ville de Lyon : www.nature.lyon.fr
https://www.loisirs-parcdelatetedor.com
Vincent Horvat nous a fait part de quelques photos.
D'autres photos proviennent du site internet











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 Voyage botanique
 Jardins
Le jardin botanique d'OUANAMINTHE à HAITI au cœur de la localité de BEDOU a été fondé par Alex MILHOMME.
Ce jardin a pour mission de valoriser la flore haïtienne. Il a pour objectif la conservation, le développement et la mise en valeur de collections de plantes médicinales, ornementales et endémiques.
En autre le jardin a pour but de poursuivre des activités de recherches et de diffuser des connaissances en botanique et en horticulture auprès de la communauté ouanaminthaire et à tous ses visiteurs.                                       Google
M. EBERTS Wolfgang nous a ouvert son jardin avec ses bambous.


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